Donc, il "ne croyait pas" à la menace terroriste , ce jeune homme interrogé par RTL hier sur un trottoir de sa ville.
A lui et à la station de radio ( respectable par ailleurs, hormis l'horoscope ), je soumets ce mot de Paul de Gondi, Cardinal de Retz qui pose bien la question de " l'opinion ".
Dans ses Mémoires, racontant le jour où il apprit la nouvelle de la mort du grand Condé, le facétieux cardinal écrit :
« Certains disaient qu'il était mort;
d'autres disaient qu'il était vivant.
Moi, je ne croyais ni l'un ni l'autre. »