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Titre du blog : Le journal de Frank THOMAS
Auteur : Frank-Marie-THOMAS
Date de création : 20-09-2009
 
posté le 26-08-2011 à 09:10:03

L'herbe des bas-côtés.

Je sais, je sais, il paraît que la manie des chiffres et des décomptes est signe de graves anomalies psychologiques, de paranoïa.

Les arabes n'avaient qu'à pas développer les mathématiques et inventer l'algèbre !

 

 

Les paysans manquent de fourrage pour leurs bêtes à l'étable.

J'ai toujours trouvé qu'on devrait leur livrer l'herbe du bord de nos routes. Cette idée qu'on m'a toujours présentée comme saugrenue fait apparemment du chemin...

 

J'ai fait un calcul simple.

Sachant qu'il y a en France, en 2011, 951.000 kms de routes en tous genres, soit 951 millions de mètres, en comptant - moyenne plutôt basse et qui ne prend pas en compte les nombreux rond-points - 5 mètres de largeur de bas-côtés par mètre , soit 5m2 de terrain par mètre de route, on a 4755 millions de m de bas-côtés, soit une surface totale de 475550 hectares ou 4755 km2, deux fois plus  que le Grand Duché de Luxembourg !

 

Certes, la pollution automobile risque de rendre une partie de cette herbe non consommable par le bétail.

Mais ce n'est pas le cas des petites routes et encore moins des 4000 km2 d'accotements des chemins ruraux.

Pour l'herbe polluée elle pourrait être méthanisée, l'herbe fraîche étant d'un meilleur rendement en gaz que les effluents animaux.

 

Que d'herbe ! Que d'herbe !

 

Le département de l'Eure vient de permettre aux agriculteurs, sous certaines conditions de sécurité, de faucher l'herbe des bas-côtés.

Une machine à la fois aspirateur et broyeur a déjà été mise au point...

 

Aux Antilles et dans toutes les régions tropicales, l'herbe des routes a toujours été utilisée. Vaches et chèvres à l'attache tondent accotements et ronds-points.

 

 

Commentaires

Frank-Marie-THOMAS le 11-09-2011 à 14:51:59
Ce n'est pas du tout mon sujet, mais bon...
silicium le 11-09-2011 à 14:13:17
Année Évènement -1800-200 Les origines de l'algèbre. Vers le XVIIIe siècle av. J.-C. Les scribes babyloniens recherchent la solution d'une équation quadratique. Voir Tablette de Strasbourg Vers le XVIIIe siècle av. J.-C. La tablette Plimpton 322 écrite à Babylone en écriture Cunéiforme donne une table de triplets pythagoriciens. Vers le VIIIe siècle av. J.-C. Le mathématicien indien Baudhayana (en), dans son Baudhayana Sulba Sutra (en), découvre les triplets pythagoriciens de façon algébrique et une solution géométrique des équations linéaires et des équations quadratiques de la forme ax2 = c and ax2 + bx = c, enfin, il trouve deux ensembles de solutions entières et positives à un système d'équations diophantiennes. Vers le VIIe siècle av. J.-C. Le mathématicien indien Apastamba (en), dans son Apastamba Sulba Sutra, résout les équations linéaires générales et utilise les systèmes d'équations diophantiennes comportant jusqu'à cinq inconnues. Vers le IVe siècle av. J.-C. Dans le livre II de ses Éléments, Euclide donne une construction géométrique à la règle et au compas de la solution d'une équation quadratique pour des racines réelles et positives. La construction est un résultat de l'école de géométrie de Pythagore. Vers le IVe siècle av. J.-C. Une construction géométrique de la solution des équations cubiques est soulevée (le problème de la duplication du cube). Il est connu que celui-ci n'a pas de solution constructible à la règle et au compas. Vers 150 Le mathématicien grec Héron d'Alexandrie traite des équations algébriques dans ses trois volumes de mathématiques. 100-800 De Diophante à Al-Khwarizmi, l'algèbre se dégage de la géométrie. Vers 200 Le mathématicien hellénistique Diophante qui vécut à Alexandrie, et souvent considéré comme le père de l'algèbre, écrit son fameux Arithmetica, un travail préfigurant la théorie des équations algébriques et la théorie des nombres. Vers 300 Des équations algébriques sont traitées dans le manuel chinois de mathématiques de Liu Hui Jiuzhang suanshu (Les Neuf Chapitres sur l'art mathématique), qui contient la solution de systèmes linéaires utilisant la méthode de la fausse position, des solutions géométriques d'équations quadratiques et la recherche de matrices équivalentes selon la méthode de Sylvester-Gauss. 499 Le mathématicien indien Âryabhata, dans son traité Aryabhatiya, obtient le nombre complet de solutions d'un système d'équations linéaires par des méthodes équivalentes aux méthodes modernes, et décrit la solution générale de telles équations. Il donne également des solutions d'équations différentielles. Vers 625 Le mathématicien chinois Wang Xiaotong (en) trouve les solutions numériques d'une équation cubique. 628 Le mathématicien indien Brahmagupta, dans son traité Brahma Sputa Siddhanta, invente la méthode du chakravala pour résoudre les équations quadratiques, dont l'équation de Pell, et donne des règles pour résoudre les équations linéaires et quadratiques. Il découvre que les équations du second degré ont deux racines, dont les négatives.

Ce n'est qu'en 800 qu'apparaissent les Arabes qui d'ailleurs ne font au début que du plagia...


Les califes abbassides al-Mansur, Haroun ar-Rachid, et Al-Mamun, ont fait traduire les travaux scientifiques des Grecs, des Babyloniens et des Indiens en langue arabe. Commence ainsi, au Moyen-Orient, une renaissance de la culture scientifique. Bagdad devient une nouvelle Alexandrie, particulièrement sous le règne d'Al-Mamun (809-833). À la suite d'un rêve où lui serait apparu Aristote, le calife a demandé à ce qu'on traduise tout ce qu'on connaissait des Grecs, y compris l'Almageste de Ptolémée et une version complète des éléments d'Euclide. Al-Mamun fit construire à Baghdad une « Maison de la Sagesse » (Bait al-hikma) afin de rivaliser avec l'ancien Museum d'Alexandrie


Vous galvaudez les mensonges de l'histoire.....