Les lecteurs de mon blog savent en quelle estime je tiens les théories des écologistes autoproclamés et les angoisses et interdits multiples qu'elles suscitent dans notre société
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Toute leur propagande, soit celle qu'ils font à visage découvert en brandissant des pseudos-études scientifiques, soit celle, subreptice, qui envahit le discours politique, publicitaire et médiatique, fait de leurs "avertissements" millénaristes , à force d'être répétés et enfoncés dans le crâne de nos concitoyens, une "vérité" d'ordre mystique qu'il est impie et hérétique d'oser seulement contester.
Eh bien soit ! Je suis impie et hérétique dans cette religion comme dans les autres. C'est que mon esprit étroitement rationnel m'a toujours détourné de ces consensus suspects par leur triomphe même et que toute mon éducation et ma culture vont vers la recherche personnelle, la vérification, bref, vers ce que Descartes appelait « le doute méthodique ».
Celui-ci devrait être l'objectif de toute étude, de toute formation de la jeunesse.
Il ne s'agit pas de rejeter en bloc et a priori les découvertes et les idées nouvelles. C'est tout le contraire : il s'agit seulement d'exercer sa liberté de penser et son droit d'investigation sur tous les sujets, et en priorité sur ceux qui semblent ne plus faire débat, tant leur succès et grand, donc incontestable.
Glalilée et Copernic ont bien fait d'encourir les foudres de l'Inquisition en affirmant que la Terre tourne sur elle-même et que c'est le soleil qui est au centre de notre système planétaire. Ils étaient seuls et exposés à la risée et aux coups violents de l'Eglise qu'approuvait l'écrasante majorité des hommes de l'époque.
Les savants de notre temps qui s'écartent de la doctrine officielle abondamment répandue partout ont eux aussi raison de le faire. On ne peut juger du bien fondé de leurs découvertes que si l'on prend la peine de se défaire des dogmes dont on nous ficèle et de penser en toute liberté à partir des mesures incontestables que nous avons à notre disposition.
Or il se trouve que ces mesures et ces observations sont bien différentes de ce que l'on nous serine à longueur de journée.
D'abord - et surtout - la température globale de la Terre stagne depuis 1997, 15 années.
Le GIEC, principal pourvoyeur de nouvelles alarmistes, est lui même forcé de corroborer ces chiffres; mais il s'empresse de poursuivre en affirmant que ce n'est qu'un "palier" avant un réchauffement brutal et mortel.
Il est pourtant prouvé depuis longtemps que la température de la Terre monte régulièrement de 0,25 à 0,50 degré par siècle depuis la grande vague de froid de la fin du règne de Louis XIV, au début du XVIIIe siècle.
Il devrait donc aller de soi que l'activité industrielle et le fameux CO2 dénoncé comme le coupable de ce réchauffement n'y sont pour rien.
Les astronomes dont la voix est inaudible alors qu'ils détiennent évidemment les clés de toute explication rationnelle et indiscutable, ont établi sans contestation possible que l'irradiance solaire est la cause de ces variations de température et du climat.
Le diamètre du soleil en effet varie en fonction de sa position par rapport aux planètes de son système, donc de la Terre, selon un cycle de 6 décennies.
Or nous sortons d'un cycle de 60 ans de réchauffement. Le palier observé depuis 15 ans annonce donc non pas une progression de ce réchauffement dont on nous tympanise, mais au contraire une période de 60 ans de refroidissement général.
Nous pouvons, sans peur et sans mauvaise conscience, continuer à rouler en voiture, à développer l'agriculture et l'industrie, à vaquer à nos occupations quotidiennes tout en respectant la beauté et les grands équilibres de la vie sauvage dont nous ne saurions nous priver.
Le CO2 est absolument innocent.
Commentaires
@ fugace
C'est en effet un souci majeur, et dans ce cas précis, il est indéniable que nos abus de pesticides et autres traitements en sont la cause.
Curieusement les écolos si prompts à tirer sur toutes les sonnettes d'alarme, même les plus fêlées, sont quasiment silencieux, alors que la disparition de la pollinisation est une menace mortelle.
Bonjour F-M . T.
Il est probable que plus que les variations climatiques sur le long terme de plusieurs siècles, ce soit la disparition exponentielle de nos amies les abeilles ( faisant les frais de la pollution chimique) en quelques décennies, qui nous conduise à une catastrophe annoncée, mais déniée. L'impact pourrait être ca tas tro phi que bien avant 2064 (après J.C.