On a beaucoup parlé, ces derniers jours, du livre de Madame Trierweiler. De toutes les attaques contre François Hollande dont il est fait, l'une a retenu l'attention plus que d'autres : l'accusation portée contre lui d'avoir coutume de traiter les pauvres de " sans-dents".
Il faut dire que pour un ami du petit peuple " qui n'aime pas les riches" et dont
" le seul ennemi est la finance ", cela marque plutôt mal !
Le président de la République, touché au vif, a d'ailleurs violemment démenti; Ségolène Royal, son ancienne compagne, s'empressant de le soutenir en arguant que cette expression est en contradiction avc l'engagement de toute une vie.
Voire. Le cynisme consiste précisément dans ce genre de contradiction.
Mais un passage du livre de Valérie Trierweiler est passé plus inaperçu qui, pourtant, confirme l'accusation précédente, dévoilant un être froid et méchamment ironique :
" Je me souviens d’un soir, au sortir d’un repas de Noël passé chez ma mère, à Angers, avec tous mes frères et sœurs, les conjoints, neveux et nièces, vingt-cinq personnes en tout. François se tourne vers moi, avec un petit rire de mépris et me jette :
– Elle n’est quand même pas jojo, la famille Massonneau...
Cette phrase est une gifle. Des mois plus tard, elle me brûle encore. Comment François peut-il dire cela de ma propre famille ? « Pas jojo, la famille Massonneau » ? Elle est pourtant tellement typique de ses électeurs. "
Alors ? Qui ment ?
Commentaires
Bonjour,
F.H. s'est autoprocramé en s'étant autoproclamé "Normal". Même si il est libre de ne s'être pas marié avec Ségolène, l'ayant tout de même engrossée cinq fois, sa position vis à vis de sa famille n'ayant jamais été normalisée, on pouvait déjà il me semble douter de sa normalité sans même parler de sa sincérité. Quand à sa liaison longue avec V.T., qui malgré un individu indélicat si ce n'est scélérat, qu'elle avait donc bien cerné; pas besoin de se demander ce que ces deux là faisait ensemble. Chacun ayant trouvé dans cette relation bancale sa part d'avantages de tous ordres. Une relation comme tant d'autre construite sur du sable, ne pouvait que s'écrouler brutalement sans aucun besoin de signes annonciateurs.
Je les mets donc dans le même sac.