D'un côté un ministre de l'Intérieur soucieux d'ordre républicain et apportant un soutien efficace - du moins s'y efforce-t-il - à la police nationale.
De l'autre une garde des Sceaux laxiste et portant une large part de responsablité , par la tonalité générale de la calamiteuse politique pénale qu'elle conduit, dans les dérives inadmissibles auxquelles nous venons d'assister.
Elle est emblématique de l'impasse où s'enfonce ce malheureux gouvernement.