" J'aime tellement l'Allemagne", disait Mauriac
"que je préfère qu'il y en ait deux".
Il semble qu'il en soit de même pour l'Education et la Culture :
notre calamiteux président les aime tant l'une et l'autre,
qu'il a donné à chacune d'elles trois ministres en quatre ans.
Commentaires
La "ligne politique" (il parle souvent de sa politique) est peut-etre de bien massacrer l Education et la Culture ?