L'ancienne ministre de l'Ecologie, ancienne présidente de la COP 21, a trouvé là, avec l'aide de Monsieur Macron, une honorable porte de sortie.
Elle veillera donc sur la fonte des glaces aux pôles, sur la montée des océans, sur l'impact de la masse d'eau douce déversée dans les eaux et sur l'avidité des nations tentées par l'exploitation des ressources minières des régions libérées de la glace.
"Vaste programme", aurait dit de Gaulle.
Mais qui peut douter qu'il ne soit à la mesure de cette femme démesurément extensible, qui passe sans frémir et avec bravitude du Poitou-Charente à la planète entière ?
Commentaires
Un pantouflage qui ressemble à une mise au frigidaire ...