Réduit au rôle peu flatteur de faire-valoir, se heurtant violemment aux cruelles réalités de l'économie, de la politique et de la diplomatie, Nicolas Hulot redevient ce que dans le fond il n'a jamais cessé d'être : une image médiatique.
Un de plus qui entre dans la cohorte de ces ministres, portant beau mais impuissants, que Saint-Simon appelait si drôlement et si cruellement
des "soleils de janvier".
Du moins ne pourra-t-on pas l'accuser de participer
au réchauffement climatique.
Commentaires
Qu'allait-il faire dans cette galère ? aurait dit Molière