Le chroniqueur Eric Zemmour est une nouvelle fois au centre d'une polémique.
L'ancien - et même très ancien - champion de tennis Yannick Noah n'a pas hésité à déclarer à deux reprises durant la campagne présidentielle qu'il soutenait à fond la proposition de François Hollande de taxer à 75% la part des revenus annuels supérieure à 1 million d'euros.
« Je serai le ministre des élèves » déclare Vincent Peillon.
Le mérite de François Hollande, en disciple fidèle de "Dieu", c'est d'être appliqué et méthodique. Il a donc méthodiquement appliqué la formule : propositions/pièges à c... qui consiste à présenter un certain nombre (60 au lieu des 110 de 1981) de projets dont, sur la masse, certains - les plus difficiles à mettre en oeuvre - seront abandonnés au bord de la route et dont ceux qui ne coûtent rien seront bruyamment mis en application.
Vincent Peillon, bouillant ministre de l'Education Nationale, a annoncé que dorénavant les élèves auront classe durant 5 jours et non plus 4.
Un mot tout de même de la saynète comique que le nouveau président nous a offerte au pied de la statue de Jules Ferry.
Je suis arrivé dans le village il y a 31 ans.
J'y ai connu des jours heureux, très heureux même.
Jusque là tout s'était bien passé depuis une semaine, dans le respect des règles de la politesse et des rites républicains.
Jean Marc Ayrault est un homme politique avisé et plein d'expérience.Il a été élu pour la première fois en 1976, il y a 36 ans, conseiller général de Saint-Herblain, maire de cette commune en 1977, puis, après avoir habilement manoeuvré, maire de Nantes en 1989.
Un conseil : lisez attentivement l'excellent commentaire fait par un lecteur assidu, Hervé Molla.
La question est sensible, bien sûr, et certains ne manquent pas d'en faire une exploitation discutable. Revenons à l'essentiel et surtout à la réalité, comme je m'efforce de le faire sur ce blog en m'abstenant de toute idéologie partisane.
Un mot sur ce que certains considèrent comme un mauvais procès fait à Monsieur Jean-Marc Ayrault à propos d'un journal municipal de Nantes qui lui a valu quelques ennuis judiciaires.Cet homme, je le dis comme je le pense, paraît digne de respect, même s'il n'engendre pas la gaîté ( Fillon, d'ailleurs...) et correspond assez bien à ce que Coluche appelait " le Premier Sinistre".
Si Sarkozy n'existait pas, il faudrait vraiment l'inventer...A lire certains commentaires, articles et prises de position, il semble que la gauche soit en train de développer l'idée que ce qui va mal est à mettre sur le seul compte des dirigeants sortants.
Oui l'image est belle de ces deux adversaires côte à côte sous l'arc de triomphe de l'Etoile.Le monde entier la verra et la France, assurément, en sera mieux aimée encore.Le président sortant a invité le président élu et celui-ci a accepté cette invitation. Cela montre l'intelligence de l'un et de l'autre.
Un long voyage pour y aller, puis une immobilité de six mois au bord de l'immense lac Baïkal.
Philippe Bilger que j'estime suffisamment pour avoir mis son blog en lien avec le mien, ne tarit pas d'éloges sur la prestation de François Hollande durant toute cette interminable campagne, et singulièrement sur celle de mercredi soir en face de Nicolas Sarkozy.