Christophe Dechavannes anime une amusante émission de jeu sur TF1 depuis quelques semaines.
Saisie au vol cette phrase effarante de lourdeur, d'inélégance et d'équivoque à propos de la politique pénale :
Et voici que s'enflamme à nouveau le petit monde médiatique et que s'indignent à qui mieux mieux les commentateurs de tout poil. Haro sur Jacques Attali qui a osé prononcer des paroles blasphématoires. On se croirait revenu au"point de détail de l'histoire".
Un lecteur qui signe du pseudonyme original "Decapedepee" vient de laisser un commentaire à l'article précédent qui m'inspire la réflexion suivante.
Ni - Ni =
JARDINAGE+LECTURE
in angulo cum libello
Les Champs Elysées étaient le paradis des anciens grecs. Il fut avant-hier soir l'enfer pour notre police.
On n'exprime pas que l'amour avec les fleurs. Une "femen" en est la preuve.
Depuis plus d'un demi-siècle les petits écrans voient se succéder speakers, présentateurs et journalistes, sortes de vedettes familières reçues chaque jour dans les foyers français, dont les visages et les voix sont associés aux évènements de nos vies.
Je n'apprécie guère que l'on utilise la notoriété d'un lieu pour y placer des oeuvres dont l'esprit et l'esthétique jurent avec lui.
Quelques fleurs de mon jardin en ce jour d'anniversaire.
En mars Mohamed Saou, responsable du mouvement d'Emmanuel Macron "En Marche" dans le Val d'Oise, a écrit sur Facebook : "Je n'ai jamais été et je ne serai jamais Charlie". Il a cru bon, dans la foulée, de faire l'éloge de Recep Tayyip Erdogan le célèbre démocrate ottoman.
Hier à Marseille Jean-Luc Mélenchon, sous les yeux de la Bonne Mère, a brandi, puis mis à sa boutonnière, un brin d'olivier.
On n'est plus qu'à deux semaines du premier tour de l'élection présidentielle, et, comme de bien entendu, les esprits s'échauffent.
Alain Finkelkraut est parfois irritant, il le sait et, apparemment, s'y complaît. Ses éclats, ses invectives et ses combats relèvent d'une théâtralité qui ôte souvent à ce qu'il dit la crédibilité qu'il revendique envers et contre tous.
Faut-il que nous soyons en pleine décrépitude politique et morale pour considérer que Philippe Poutou a frappé un coup de maître en face de Marine Le Pen.
Les Français, comme les Grecs et les Romains de jadis, adorent les bavards lyriques.
Et voilà ! Les excuses bafouillées par la ministre des Outre-Mers Mme Bareigts, a produit son premier effet.
On le sait, la mode, en France, est à la repentance.
En politique le choix est rarement
entre le bien et le mal,