Le journal de Frank THOMAS

Un abbé fort laid, importun et insistant avait réussi a forcer la porte du bureau de Philippe d'Orléans, Régent du Royaume, pour lui demander une pension.

Le temps passe et les évènements se courent après. Je voudrais ajouter deux apostilles à deux de mes articles récents que je mets en lien avec celui-ci.

Le président " normal " se révèle peu à peu pour ce qu'il est : un président quelconque.

Lesélecteurs de mon village se sont en partie laissés prendre à l'inadmissible et stupide argumentaire du maire et de son adjoint, candidat aux législatives au nom du parti socialiste et " du président ". Ils lui ont en effet donné une maigre majorité.

Avec une majorité absolue de députés à lui seul flanqué de ses alliés les plus proches ( radicaux, Citoyens et divers gauche ), le parti socialiste dispose de toutes les manettes institutionnelles pour gouverner : Elysée, Matignon, Sénat, Assemblée.

Aujourd'hui ma boîte aux lettres contient un bien curieux courrier.

« Moi Président de la République,

 je ne mélangerai pas ma vie privée

Le duel du second tour dans la première circonscription de Charente-Maritime entre Ségolène Royal, présidente de la région Poitou-Charentes et Olivier Falorni, premier secrétaire du PS local, violemment viré du parti pour insoumission, est emblématique.

Décidément, il est dit que Ségolène Royal fera toujours des vagues.

Le convoi du président entre Paris et Caen, hier, après avoir scrupuleusement respecté les feux rouges dans Paris, s'est lâché dès qu'il a été hors de vue du public : 140 km/h sous le tunnel de la Défense (limité à 70 ) et 180 km/h sur l'autoroute ! Comme un avion.

Pourquoi est-il dans l'ombre ?

Pourquoi cette contre-plongée qui lui fait une grosse tête ?

La petite fille de Jean-Marie se nomme

 MARÉCHAL LE PEN.

On se souvient de la réplique du gamin de la Guerre des Boutons . « si j'aurais su j'aurais pas venu !». Elle sert d'exemple de l'emploi fautif du conditionnel après "si".

« On dit que les nouvelles générations seront difficiles à gouverner.

« L'avantage d'être intelligent c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile