Définitivement le fameux mot du Général : " la politique de la France ne se fait pas à la corbeille" est à reléguer au rayon des curiosités historiques.C'est pire, bien pire que ce qu'il avait imaginé.
Tout ça pour ça !Le plus petit dénominateur commun l'a donc emporté.
Ça y est : le mou a écrasé la dure.
La dure va soutenir le mou.
Je suis content que Siné revienne dans les kiosques. Après avoir été salement viré de Charlie Hebdo par l'antipathique Philippe Val , il avait fondé SinéHebdo qui n'a survécu que deux petites années. Le voici, l'acharné, à la tête de SinéMensuel...
Le "jeune homme" qui dit vouloir" sortir le PS du formol " use des plus vieilles et des plus mitterrandiennes ficelles qui soient.
Cicéron, Premier Ministre
Montaigne, Ministre des affaires sociales
Entendu de Martine Aubry ce matin sur RTL :
« Quand c'est flou, y a un loup. »
Une phrase idiote parmi tant d'autres, signée David Pujadas au 20 heures de ce soir :
Arnaud Montebourg a beaucoup d'atouts. Il en joue, ce qui est légitime. Peut-être est-il en train d'en abuser.
Pour pouvoir voter lors des deux tours des "primaires citoyennes", il fallait s'acquitter de 1 euro et signer une "charte" dont voici le court texte intégral :
L'égalité est l'un de piliers de notre République.
Elle est à la base de la réflexion des philosophes des Lumières, eux-mêmes héritiers des penseurs antiques, chrétiens et humanistes.
A l'heure où j'écris ceci, il semble que l'écart entre François Hollande et Martine Aubry soit finalement assez faible, beaucoup plus, en tout cas que ne l'espéraient les partisans du député de Corrèze.
Et une provocation de plus du chef du gouvernement italien !
N'êtes vous pas, comme moi, un peu fatigué des excès de louanges dont les radios et les télévisions retentissent depuis l'annonce de la mort de Steve Jobs ?
Que les primaires soient un exercice intéressant, soit.Que les candidats fassent preuve de capacité de résistance et de talent, soit, encore.
On n'est finalement pas si bête, à droite comme à gauche !
Donc, malgré les Cassandre qui annonçaient de sombres tractations destinées à fausser le verdict des urnes, Monsieur Bel, sénateur de l'Ariège, a été élu hier dès le premier tour président du Sénat.