Montesquieu, sans doute le plus grand théoricien français de la démocratie, faisait de la séparation des pouvoirs le fondement de ce régime à la fois solide et fragile.
Selon un tout récent sondage, 64 % des Français seraient satisfaits du couple exécutif Macron/Philippe.
En passant dans les rues d'Ars en Ré hier, je suis tombé sur cet inénarrable panneau électoral.
Non seulement ce premier tour des élections législatives bat tous les records d'abstention, mais on y a vu naître une curiosité : " le Parti du Vote Blanc".
Outre un gastéropode marin, un peintre grec et une micro-particule, le nom de Macron désigne, pour les latinistes et les historiens, un des plus habiles et des plus amoraux hommes politiques de l'antiquité Romaine.
Le premier ministre Edouard Philippe et la ministre du travail Muriel Pénicaud ont "dévoilé" hier leur plan d'action pour l'année à venir. On n'en sait pas plus qu'avant leur intervention.
Pour une fois, sans doute grâce aux loisirs que me laisse ma condition de retraité, je prends le temps de regarder en détail la facture d'eau que Veolia ( ah ! la fureur de changer les noms des services publics !) me fait gentîment parvenir.
Une lettre de plus et l'odieuse plaisanterie de Macron aurait perdu toute nocivité.
Comment la langue de l'empire Romain est selon moi la base de l'esprit démocratique en Europe, tel est le paradoxe que je voudrais brièvement évoquer ici et qui pourrait faire l'objet d'un bien plus long développement.
Nos compatriotes mahorais sont révoltés par la désinvolture blessante de Monsieur Macron.