Il était de coutume à Rome, depuis Auguste, que tous les empereurs défunts quels qu'eussent été leurs débordements ou leurs crimes, fussent divinisés et rejoignissent le Panthéon. On appelait cela l'apothéose.
On a connu Jean-Luc Mélenchon mieux inspiré.
Voici en effet les derniers mots du dernier billet paru sur son blog ( en lien avec celui-ci ) le samedi soir :
Il n'est pas jésuite pour rien, François Premier !
A Bethléem, "il surprend tout le monde" - pour employer la terminologie journalistique - en allant "se recueillir" devant le mur de séparation construit par Israël pour empêcher les palestiniens de sortir de leur territoire.
Si elle n'existait pas il faudrait l'inventer, Christine Boutin.
Lundi, mardi et hier mercredi, l'actualité nous a réservé son lot quotidien de mauvaises nouvelles...
Le Front National recueille aux élections européennes 12 % des électeurs inscrits. Et alors ?
En 2008 Vincent Peillon signait un livre intitulé La Révolution Française n'est pas terminée dans lequel il développait sa conception du rôle de l'Ecole républicaine.
La directrice de l'école primaire Yves Codou à La Môle, suivant la proposition du conseil des maîtres, vient de supprimer le traditionnel cadeau préparé par les enfants pour leurs mamans.
On me dira - et sans doute aura-t-on raison - qu'il ne faut pas juger les gens sur leur apparence, que le visage n'est pas forcément le reflet de l'âme, etc.
Puisque ces mystères nous dépassent,
feignons d'en être l'organisateur.
Incapables d'avoir la moindre influence sur le cours des évènements économiques, nos dirigeants s'efforcent de compenser ou de faire semblant de compenser cette impuissance par la multiplication des projets de réforme à moyen et long terme.
Une nouvelle polémique ridicule et mesquine vient, une fois de plus, porter atteinte à la dignité et à l'honneur du corps enseignant. Cela devient plus qu'inquiétant.
Il faut bien reconnaître que depuis le début de sa carrière politique, que ce soit en Guyane dont elle a longtemps été la "dame de fer" ou en Métropole, Madame Christiane Taubira a souvent suscité - volontairement ou non - polémiques et scandales.
Boum ! Et deux saints, deux ! Quatre "miracles". On peut en ajouter un cinquième : la crédulité de la foule.