Entendu dimanche midi sur FR 3 de la bouche du ministre des Affaires Etrangères, Jean-Marc Ayrault à propos de son nouvel homologue britannique Boris Johnson :
Comme tous les gens de bonne foi, je pense qu'il est définitivement impossible de prévenir et d'empêcher à l'avenir tous les crimes tels que celui qui vient de se produire à Nice.
Les djihadistes haineux qui nous font la guerre doivent méchamment sourire devant les manifestations larmoyantes qui semblent dorénavant constituer la seule réponse dont notre pays est capable. C'est un spectacle affilgeant qui correspond exactement à ce qu'ils recherchent.
Laisser commettre les crimes qu'on peut empêcher n'est pas seulement en être témoin, c'est en être le complice.
Abomination du massacre de Nice.
Hier François Hollande, pour une fois, avait réussi à parler à peu près juste en évoquant le caractère tragique du pouvoir confronté à la violence et à la mort. Hélas, l'évènement lui donne raison.
En 1737 Rameau donnait à Paris la première de Castor et Pollux.
Décidément les personnes pour lesquelles je ressens une antipathie marquée semblent faire tous leurs efforts pour me confirmer dans mes sentiments à leur égard.
L'Europe, menacée par la montée des nationalismes, gravement éprouvée par la défection du Royaume Uni n'avait pas besoin d'un scandale.
En 1961 paraissait chez Maspero l'essai de Frantz Fanon contre le colonialisme : Les Damnés de la Terre.
L'équipe de France vient d'infliger une cuisante défaite à celle d'Allemagne en demi-finale de l'Euro 2016.
La mort de Michel Rocard a donné lieu à un concert de louanges qui eût été unanime sans la réserve de Jean-Marie Le Pen.
Demain 6 juillet auront lieu les épreuves de rattrapage pour les candidats au baccalauréat qui ne sont pas passés "au premier tour". Le ministère à cette occasion prend une décision à la fois stupide et dangereuse.
Encore une de ces expressions vides de sens qui s'est répandue comme une épidémie.
Dans la foulée de la vague écologiste, les adeptes d'une alimentation et d'un mode de vie respectueux de l'animal prennent, si j'ose dire, du poil de la bête.