Etre le plusvite possible sur place, prendre la tête d'un cortège improvisé, prononcer, le front plissé et le regard sombre, quelques paroles bien senties de tristesse et de compassion, c'est un métier.
En cette année 2015, tricentenaire de la mort du Grand Roi, les livres et les disques rendent hommage au souverain, aux artistes et aux penseurs de son siècle, à la gloire dont son règne a couvert la France.
D'un côté un ministre de l'Intérieur soucieux d'ordre républicain et apportant un soutien efficace - du moins s'y efforce-t-il - à la police nationale.
qui déplorent les effets
dont ils chérissent les causes "
Nicolas Sarkozy prétend contraindre tous les candidats à la future primaire de la Droite à s'engager sur un programme commun. A quoi ce tracassin peut-il bien servir sinon à rendre inopérante et superflue toute autre candidature que la sienne ?
Une fois n'est pas coutume : j'approuve Manuel Valls dans sa position à propos des frappes françaises sur les groupes d'entraînement et les dépôts de munitions de " l'Etat islamique ".
En 1534 Rabelais invente cemot qui depuis a connu des fortunes diverses.
A l'occasion de la polémique suscitée par les paroles de Mme Morano à propos de la "race blanche", un débat surgit une nouvelle fois pour savoir s'il convient ou non de le maintenir dans le texte de la Constitution de la République.
L'étymologie, encore et toujours !
Le motrace appliqué à l'espèce humaine est une facilité, un abus de langage.
Madame Nadine Morano est décidément dans la tourmente.